A r c h i p a l VIENS

LISTE DES OUVRAGES CONCERNANT CE VILLAGE

Notes d'histoire

Aux Brouquiers,au Fournas, à Mesteyme,etc, plusieurs stations du néolitique font de ce site protégé un habitat privilégié de la préhistoire.
Dominant l'ancienne gare, l'éperon rocheux de la "vache d'or", sur le passage de la voie Domitienne,une enceinte de pierre sèches aux murs très épais délimite l'emplacement d'un ancien oppidum, dont l'occupation paraît initerrompue de la préhistoire au Moyen Age. Le site de Massieyes et celui des Tuilières peuvent être considérés comme des "oppida" pré-romains.
L'occupation romaine a laissé de nombreuses traces sur le terrain en plaine. A 500m d'altitude, entre Caseneuve et Viens, se trouvait un vaste domaine gallo-romain, dénomé "l'alpage" ,fortifié,dont l'existence est encore attestée en 1019, mais qui paraît avoir disparu au début du XIV° siècle.
Dès le X° siècle,le terroir de Viens appartient à la famille d'Agout- Simiane. Le "castrum" succède bientôt à une "villa". Au moyen Age, plusieurs édifices religieux sont construits sur le terroir.Très tôt (1221) la communauté obtient les franchises municipales. Place forte d'un ensemble qui borde la frange des monts de Vaucluse, la cohésion locale se renforce tout au cours du Moyen Age.
Au XVI° siècle Viens, durant les affrontements religieux, connaît quelques troubles sans gravité.
Au XVII° siècle, Viens connaît un remarquable essor démographique. la population passant de 200 habitants vers 1480 à 1500 personnes en 1698.

A voir :
Les vestiges des remparts .
La tour de l'ancien château (XIII°, XIV° siècle).
La porte neuve et sa tour carrée. Dans le village : Belles maisons romanes (XIII° siècle) .
L'église paroissiale édifiée au début du XII° siècle.
La chapelle Saint Férréol : on y venait autrfois en pélerinage le 18 septembre.
Autres chapelles rurales :Saint Paul, Saint Amas, saint Laurent .

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